Un livre à savourer car...
Le stress, l'anxiété, la déprime... Nous sommes aujourd'hui si sensibilisés à ces maux que nous pouvons parfois ressentir une injonction (contre-productive) à les surmonter. Loin de ces pressions, l'ouvrage du Dr. Gourion nous engage à découvrir en douceur de nouvelles clés pour nous apaiser. Au programme : 10 à 30 minutes de lecture hebdomadaire pendant 7 semaines pour nous sentir mieux, durablement.
J'ai beaucoup aimé ce récit post-apocalyptique qui a le mérite de ne pas avoir une histoire trop attendue.
Ici, il sera davantage question d'étudier la vie et la psychologie des personnages plutôt que de tout axer sur l'action et la survie.
J'ai beaucoup aimé aussi le fait que l'hôtel ait une réputation particulière à cause de décès nombreux et suspects qui s'y seraient produits, mais que cet élément ne soit pas central dans l'histoire.
Les personnages sont intéressants car ils ne sont pas tous sympathiques d'emblée, et certains vont finalement avoir des faces insoupçonnées.
J'ai trouvé que la fin était inattendue et cela m'a bien plu, car la plupart des récits de ce style se terminent souvent de la même façon.
Une très bonne lecture, distrayante et avec une histoire qui change.
Cet ouvrage est d'autant plus intéressant que je ne me rappelle pas avoir lu un tel degré de réflexion sur l'évolution de la société vis-à-vis des libertés adolescentes (ou leur recul d'ailleurs). Elle met en évidence la prise de conscience généralisée de la société en matière de viol et de consentement, mais qui s'accompagne paradoxalement d'un recul des libertés des adolescentes, qu'on encadre davantage pour tenter de les protéger. Son propos est bien contextualisé et aborde notamment la question de la plus grande accessibilité du porno et son impact sur l'entrée des jeunes dans la sexualité.
Riche d'anecdotes authentiques, cet album raconte le destin de ceux qui ont ouvert la voie. Celui de femmes et d'hommes qui ont écrit l'histoire politique, sociale, ou culturelle du sport en le conjuguant au passé, au présent et au futur.
Je ne vais pas tourner autour du pot, j'ai adoré ce roman ! J'ai adoré chaque portrait de ces hommes / femmes incroyables ! J'ai appris pleins de choses, découverts de belles âmes et de magnifiques histoires qui m'ont beaucoup émues ! Dès la première histoire celle de Marcus Rashford j'ai été bouleversée ! Je ne connais absolument pas le monde du foot (en dehors de Ouissem Belgacem et son histoire qu'il nous offre dans son livre) et j'ai donc découvert Marcus, son engagement notamment pendant le covid pour qu'aucun enfant en Grande Bretagne n'ait faim et j'ai vraiment été touché !
Difficile de parler de ce livre juste après l'avoir refermé, tellement on est submergé par l'émotion. Tellement le récit est prenant, et tellement les personnages sont forts. Et surtout que dire? Pour éviter de spoiler l'intrigue. Lina Bengtsdotter aime les personnages qui ont eu une enfance difficile. C'est le cas de Charlie notre enquêtrice, mais aussi de Sara et de Lo, deux pensionnaires de la Souvenance, centre d'accueil pour personnes fragiles. Et d'autres protagonistes de cette histoire d'enlèvement. Certains, une fois adultes, vont s'en tirer avec des blessures à l'âme, d'autres n'y arriveront jamais.
Coup de coeur pour cette BD qui aborde avec délicatesse la notion de polyamour ou, plutôt, qui en effleure le sujet afin de mettre en lumière l'idée que l'idéal prôné par notre société et notre culture soit : le mariage, le(s) enfant(s), une maison en banlieue et un labrador ou deux chats, n'est pas objectivement un gage de réussite, d'accomplissement et de bonheur ; que les relations humaines sont bien plus complexes, riches et remplies de potentiels que ça ; que des voies différentes peuvent être empruntées sans que ça empêche ceux qui s'y sentent à l'aise de continuer à emprunter la voie traditionnelle. C'est un encouragement à se questionner soi-même, à trouver son propre chemin, à s'affranchir du regard des autres et de leur jugement éventuellement (non, toujours). J'ai versé une larme sur le mot de la fin de l'autrice qui rappelle que si elle aborde certains sujets, elle n'a pas vocation à en faire une vérité, elle pose le doigt sur quelque chose de complexe que ma génération et celles qui viennent sont en train de mettre sur la table quand toutes ces questions ont été invisibilisées (par honte ? peur ?) par les générations précédentes.
Son Florence Arthaud, femme libre, est un ouvrage d'une grande sensibilité, empreint d'émotions. C'est aussi un vrai récit d'aventures, une lecture passionnante, qui parvient à vous donner l'impression d'être à bord de ces voiliers, en compagnie de Florence, justement. Il est vrai que lors de certaines scènes, dans les courses ou dans les tempêtes, vous avez l'impression de vivre ces moments là et vous arrivez même à avoir peur de passer par dessus bord.