Pour passer le temps, Alexandre Jollien, handicapé depuis sa naissance, s’invente un dialogue avec Socrate. Au travers de cet échange il nous conte de façon directe, drôle et parfois brutale sa jeunesse passée en institut spécialisé.
« Éloge de la faiblesse » est tout autant une tranche de vie qu’un parcours initiatique et philosophique : c’est un savant mélange d’humilité, de sagesse et d’irrévérence !
Depuis une vingtaine d'années, la bande dessinée est capable de tout. De tout dire. De tout montrer.
Si le texte est emprunté, mot pour mot, à l'œuvre originale d'Alexandre Jollien, la BD a été totalement redécoupée et séquencée en une série de tableaux, qui rendent la lecture extrêmement fluide et possiblement aléatoire.
Le choix affirmé d’un style graphique, non réaliste, très éloigné de la réalité, permet d’éviter tout voyeurisme, toute complaisance et surtout toute censure, voire pire, toute autocensure.
Eric Corbeyran, scénariste à succès, et Nicolas Tabary, dessinateur de renom, se sont lancés dans l’adaptation de ce texte à corps perdus.
Mettre en scène le travail d’un auteur n’est jamais simple, mais lorsqu’il s’agit de mettre en image le génie et la sensibilité d’Alexandre Jollien c’est encore plus compliqué. Et pourtant… Le résultat est là : une BD riche d’émotions, une BD riche de la faiblesse de ses auteurs.
« Éloge de la faiblesse » est tout autant une tranche de vie qu’un parcours initiatique et philosophique : c’est un savant mélange d’humilité, de sagesse et d’irrévérence !
Depuis une vingtaine d'années, la bande dessinée est capable de tout. De tout dire. De tout montrer.
Si le texte est emprunté, mot pour mot, à l'œuvre originale d'Alexandre Jollien, la BD a été totalement redécoupée et séquencée en une série de tableaux, qui rendent la lecture extrêmement fluide et possiblement aléatoire.
Le choix affirmé d’un style graphique, non réaliste, très éloigné de la réalité, permet d’éviter tout voyeurisme, toute complaisance et surtout toute censure, voire pire, toute autocensure.
Eric Corbeyran, scénariste à succès, et Nicolas Tabary, dessinateur de renom, se sont lancés dans l’adaptation de ce texte à corps perdus.
Mettre en scène le travail d’un auteur n’est jamais simple, mais lorsqu’il s’agit de mettre en image le génie et la sensibilité d’Alexandre Jollien c’est encore plus compliqué. Et pourtant… Le résultat est là : une BD riche d’émotions, une BD riche de la faiblesse de ses auteurs.